Webinaire sur la lettre d’intention du concours de subventions d’équipe en science de la mise en œuvre dans le domaine des villes en santé (SMOVS) – 1er avril 2022
Questions et réponses

Table des matières

Remarque importante : Le texte de la possibilité de financement (PF) a été mis à jour dans RechercheNet pour tenir compte des réponses ci-dessous.

Veuillez envoyer toute autre question sur la possibilité de financement Subventions d’équipe en SMOVS au Centre de contact des IRSC.

Décisions relatives au financement

  • Combien de lettres d’intention ont été financées dans chaque domaine de recherche thématique? Combien d’équipes seront financées à l’étape de la demande détaillée?

    Dix-sept (17) équipes ont été financées à l’étape de la lettre d’intention : trois (3) dans toutes les classes, sauf dans celle du domaine de recherche thématique « santé musculosquelettique, mobilité ou prévention », où il y en a deux (2). Une (1) équipe par domaine de recherche thématique recevra du financement, pour un total de six (6) subventions.

  • À l’étape de la demande détaillée, le financement ne sera-t-il accordé à une équipe donnée que dans le domaine de recherche thématique correspondant à celui de sa lettre d’intention?

    Oui. Les IRSC financeront la demande la mieux classée dans chaque domaine de recherche thématique.

  • Si, dans un domaine de recherche thématique, il y deux demandes très concurrentielles qui se classeraient parmi les six (6) meilleures lors de l’évaluation par les pairs, envisageriez-vous d’accorder plus d’une subvention dans ce domaine?

    Non. Une seule équipe sera financée dans chaque domaine de recherche thématique. La possibilité de financer les demandes détaillées sera étudiée en tenant compte du domaine de recherche thématique dans lequel l’équipe a reçu de l’argent à l’étape de la lettre d’intention.

  • Serons-nous informés des équipes dont la lettre d’intention a été financée dans chaque domaine de recherche thématique?

    Oui. La liste se trouve dans la documentation distribuée avant le webinaire pour les candidats retenus à l’étape de la lettre d’intention.

  • Les demandes présentées dans le domaine de recherche thématique de la santé musculosquelettique doivent-elles être en lien avec des troubles musculosquelettiques?

    Les demandes soumises dans le domaine de la santé musculosquelettique, de la mobilité ou de la prévention peuvent aborder n’importe quel volet du mandat de l’Institut de l’appareil locomoteur et de l’arthrite (IALA) des IRSC, y compris la santé buccodentaire et cutanée.

  • Quelle est l’incidence de l’adoption par les utilisateurs finaux sur la décision de financement?

    La mobilisation des utilisateurs finaux est essentielle à la réussite du projet de recherche. Vous trouverez à la rubrique « Impact de la recherche » de la section Processus d’examen et évaluation les critères que les pairs évaluateurs emploieront.

  • Sera-t-il possible de financer plus d’un projet dans chaque domaine de recherche thématique si la somme demandée est inférieure à 3 millions de dollars?

    Cela serait sans doute possible, mais il est peu probable que plus d’une demande par domaine de recherche thématique soit financée, étant donné que les candidats demandent habituellement le montant maximum.

Admissibilité

  • Doit-on inclure des stagiaires en science de la mise en œuvre dans l’équipe?

    Bien qu’on l’encourage vivement, la participation de stagiaires en science de la mise en œuvre au projet de recherche n’est pas obligatoire. Il importe cependant de tenir compte du fait qu’un des cinq objectifs consiste à développer les capacités en matière de science de la mise en œuvre : « Développer les capacités parmi les chercheurs (y compris les chercheurs en début de carrière) et les spécialistes de la mise en œuvre. Il s’agit notamment d’offrir des possibilités de collaborer à d’autres efforts de développement de capacités de l’IRVS (p. ex., Plateforme de formation en recherche sur les villes en santé et bourses de recherche de l’IRVS) et de stimuler la formation d’un réseau de « villes apprenantes » qui communiquent mutuellement leurs expériences et en tirent des leçons, soutiennent l’amélioration continue et conçoivent des solutions de mise à l’échelle prometteuses. ». Les pairs évaluateurs examineront notamment la mesure dans laquelle la proposition tient compte des objectifs et des domaines de recherche thématique de la possibilité de financement.

  • Les équipes peuvent-elles fusionner à l’étape de la demande détaillée? Si oui, quelles sont les exigences?

    Oui, les équipes peuvent fusionner si elles le veulent. Cependant, les IRSC, l’ASPC et le NHMRC ne faciliteront pas ce processus. L’examen de la pertinence et l’évaluation par les pairs seront effectués de nouveau à l’étape de la demande détaillée. Sachez que l’équipe fusionnée devra décider de la lettre d’intention qui passera à l’étape de la demande détaillée; son CPD deviendra celui de la demande fusionnée. Le CPD ne peut changer entre l’étape de la lettre d’intention et celle de la demande détaillée. Si l’équipe fusionnée demande des fonds supplémentaires au NHMRC, celui-ci doit avoir déjà invité le chercheur en chef A (CCA) à présenter une demande par l’entremise du système Sapphire afin d’être admissible à l’étape de la demande détaillée.

  • Si nous fusionnions toutes les demandes à l’étape de la lettre d’intention dans le même domaine de recherche thématique, l’équipe combinée se verrait-elle garantir le financement si elle réussit bien?

    La demande fusionnée serait financée si elle est subventionnable, c’est-à-dire si sa cote finale est supérieure à 3,5.

  • Faut-il inclure un expert en science de la mise en œuvre dans l’équipe?

    Ce n’est pas obligatoire, mais l’un des critères d’évaluation est « expérience des candidats dans le domaine de recherche thématique proposé et en science de la mise en œuvre ».

  • Quel doit être le niveau hiérarchique des responsables des politiques participants?

    Comme l’indique la possibilité de financement, « Chaque municipalité doit compter un représentant au sein de l’équipe de recherche principale, identifié comme UCP. Ce représentant doit posséder de l’expertise dans le domaine de recherche thématique ciblé et doit connaître les villes à l’étude. Chaque UCP doit également occuper un poste dans l’élaboration des politiques, la haute direction ou la gestion communautaire dans un organisme municipal ou communautaire (p. ex., centre de santé communautaire, soins de santé communautaires de première ligne, organisation autochtone représentative, etc.) qui a conçu l’intervention à l’étude et/ou qui participera à sa mise à l’essai ou à sa mise en œuvre. » Ces personnes ne doivent pas nécessairement travailler dans une ville, mais elles pourraient œuvrer au sein d’un organisme communautaire qui dirige une intervention dans une municipalité. Elles doivent posséder un pouvoir décisionnel ou une influence qui leur permet d’apporter des changements à l’intervention.

  • Pouvons-nous nommer plus d’un utilisateur des connaissances principal (UCP) dans la demande?

    À l’étape de la demande détaillée, il faut indiquer au moins deux (2) UCP. Vous pouvez en indiquer d’autres en plus.

  • Devons-nous identifier des décideurs ou des responsables des politiques partenaires dans la demande ou pouvons-nous ne mentionner que des collaborateurs?

    À l’étape de la demande détaillée, il faut disposer d’au moins deux (2) utilisateurs des connaissances principaux (cette catégorie inclut les responsables des politiques et les décideurs). Chaque municipalité doit compter au sein de l’équipe de recherche principale un représentant identifié comme UCP. Cette personne doit occuper un poste dans l’élaboration des politiques, la haute direction ou la gestion communautaire dans un organisme municipal ou communautaire.

    Pour les demandes dans le thème de recherche Systèmes, services et politiques de santé, l’équipe de direction doit inclure les trois (3) participants suivants : 1) un chercheur sur les services et les politiques de santé; 2) un fournisseur de services de santé de première ligne; et 3) un décideur en soins de santé.

    L’identification de collaborateurs, c.-à-d. de personnes dont le rôle est d’offrir un service précis, est facultative.

    Veuillez aussi consulter les critères d’évaluation établis au point 2, Candidats pour la demande détaillée.

  • Quels types d’organisations non gouvernementales (ONG) ou de partenaires gouvernementaux ou communautaires constituent des UCP admissibles (pour les demandes adressées aux IRSC et à l’ASPC)?

    Tous les types d’ONG ou de partenaires gouvernementaux ou communautaires sont admissibles à être UCP du moment qu’ils respectent les exigences fixées dans la section Admissibilité de la possibilité de financement.

  • Faut-il faire participer des communautés de plus d’une (1) province? Est-il préférable d’avoir plus que le nombre minimum de deux (2) communautés?

    Non. Vous n’êtes pas tenus de faire intervenir des communautés de plus d’une (1) province, mais vous devez identifier au moins deux (2) municipalités canadiennes pour être admissibles à cette possibilité de financement. À part ces facteurs, ce sont la qualité de la demande dans son ensemble et sa prise en compte des critères d’évaluation qui importent.

  • Combien d’endroits exigez-vous?

    Au moins deux (2) centres urbains canadiens doivent être proposés.

  • L’adaptation d’un cadre de la science de la mise en œuvre à la recherche et à des méthodes autochtones respecte-t-elle l’exigence du recours à une approche axée sur cette science?

    Oui. Comme l’indique la possibilité de financement, ses objectifs particuliers sont les suivants :

    • Contribuer à l’avancement de la science de la mise en œuvre
    • Développer les capacités en science de la mise en œuvre
    • Stimuler la collaboration interdisciplinaire entre secteurs et régions
    • Concevoir de nouvelles solutions
    • Combler les besoins en connaissances et faire du Canada un chef de file en science de la mise en œuvre
  • La possibilité de financement permet-elle l’essai de nouveaux modèles de science de la mise en œuvre en lien avec les méthodes de recherche, la science et les perspectives autochtones?

    Oui. Vous pouvez recourir à de nouveaux modèles de science de la mise en œuvre. Cependant, les objectifs de la possibilité de financement demeurent inchangés. Les demandes doivent traiter de l’ensemble des cinq (5) objectifs. Elles seront examinées par les pairs en fonction des critères d’évaluation.

  • Avez-vous des directives sur la tranche d’âge qui serait considérée admissible pour le domaine de recherche thématique du vieillissement en santé?

    Il n’y a pas de consensus sur l’âge à partir duquel une personne est considérée comme étant aînée. Certaines sources utilisent 60 ans, d’autres, 65 ans et d’autres encore, 55 ans. Selon le domaine de recherche thématique, les candidats devraient expliquer et justifier la façon dont leur recherche cadre avec ce domaine.

  • Le financement de l’ISA est-il destiné uniquement aux populations urbaines, ou les fonds peuvent-ils aussi servir à la recherche avec des communautés autochtones?

    Pour être admissible à cette possibilité de financement (y compris dans le domaine de recherche thématique de la santé des Autochtones en milieu urbain), il faut indiquer au moins deux (2) municipalités canadiennes qui répondent aux critères établis. On pourrait ajouter des endroits non urbains s’ils sont pertinents. Veuillez vous référer à la définition de « centre de population » pour confirmer si une réserve ou un établissement est considéré comme faisant partie ou non d’une municipalité canadienne.

  • Nous voulons examiner des moyens d’établir des liens. Que se passe-t-il si une communauté autochtone veut participer, mais pas à l’échelle nationale pour le moment?

    Les équipes candidates à la réalisation de recherches avec des communautés autochtones (Premières Nations, Inuits, Métis ou Autochtones en milieu urbain) doivent inclure ce qui suit (voir « Éléments additionnels » de la section « Comment faire une demande ») :

    Les pairs évaluateurs examineront aussi ce qui suit (voir « Demande détaillée » sous « Critères d’évaluation des IRSC ») :

    • Pour les projets de recherche faisant intervenir des membres des Premières Nations, des Inuits, des Métis ou des communautés autochtones en milieu urbain :

    Il incombe aux candidats de démontrer comment ils respecteront les critères ci-dessus dans le contexte de leur projet.

    Veuillez prendre note qu’on s’attend à ce qu’au moins un membre de l’équipe principale participe à une réunion annuelle (5 réunions en tout) en compagnie de tous les stagiaires financés par la subvention d’équipe ou affectés aux projets de l’équipe dans le cadre de leur formation (voir « Conditions de financement »). Il ne sera toutefois pas obligatoire de communiquer des données ou des constatations lors de ces rencontres.

Évaluation par les pairs

  • Quelles preuves les pairs évaluateurs chercheront-ils d’une véritable élaboration conjointe de la demande?

    Il devrait y avoir dans le processus de recherche des preuves que le partenaire a participé à la conception et à la planification de la mise en œuvre du projet, et non seulement avoir fourni une lettre d’appui. Par exemple, vous pourriez indiquer la nature de votre collaboration ou montrer que vous avez effectué un essai pilote avec le partenaire. Veuillez consulter les critères d’évaluation pour obtenir plus de renseignements.

  • Les IRSC peuvent-ils fournir une possibilité de financement ou une liste de contrôle qui ne comporte pas l’information sur l’étape de la lettre d’intention?

    Comme la lettre d’intention fait partie du processus de demande de ce concours et que la possibilité de financement doit être archivée à des fins de consultation ultérieure, les IRSC ne peuvent pas enlever les instructions qui la concernent. À ce stade-ci du concours, il n’est pas possible de fournir une liste de contrôle.

  • Les IRSC et l’ASPC peuvent-ils fournir une liste très claire des critères d’évaluation?

    Les critères d’évaluation établis par les IRSC et l’ASPC pour la demande détaillée sont énumérés dans la section « Processus d’examen et évaluation » de la possibilité de financement.

  • Quel est le facteur de pondération de chaque critère d’évaluation établi par les IRSC?

    Aucun facteur de pondération explicite n’est attribué à chaque critère. Les pairs évaluateurs se serviront des critères d’évaluation pour établir une cote globale qui tiendra compte des forces, des faiblesses, des possibilités et des risques de la demande.

  • Quelles sont les exigences particulières pour le volet « évaluation » de la proposition?

    Pour les IRSC, un (1) critère d’évaluation traite précisément du plan d’évaluation (sous le point 4, « Impact de la recherche ») : « Qualité du plan d’évaluation de l’impact de l’intervention et pertinence des indicateurs de rendement ».

    Pour avoir droit au financement supplémentaire de l’ASPC, les candidats doivent joindre un plan d’évaluation provisoire (maximum de trois pages) décrivant les résultats attendus aux différentes étapes et expliquant comment ces résultats seront mesurés. Ils doivent aussi expliquer comment leur plan d’évaluation permettra d’attribuer les résultats mesurés à l’intervention.

    Pour vous renseigner sur l’évaluation des demandes, veuillez consulter la section « Processus d’examen et évaluation » de la possibilité de financement.

  • Quelles sont les politiques relatives au protocole et à l’utilisation des données autochtones que les équipes doivent connaître?

    Pour les projets de recherche faisant intervenir des membres des Premières Nations, des Inuits, des Métis ou des communautés autochtones en milieu urbain, les critères d’évaluation sont les suivants :

    • Façon dont le projet de recherche respectera les droits des Autochtones ainsi que l’autodétermination et l’autogouvernance des Autochtones, notamment par l’adhésion aux principes de PCAP® des Premières Nations (propriété, contrôle, accès et possession)
    • Prise en compte adéquate de l’EPTC 2 : chapitre 9 – Recherche impliquant les Premières Nations, les Inuits ou les Métis du Canada, et caractère significatif et culturellement sécurisant des pratiques, des plans et des activités tout au long du projet de recherche
    • Mesure dans laquelle l’équipe de recherche dans l’ensemble possède les connaissances, l’expertise et l’expérience voulues en recherche sur la santé autochtone pour réaliser des recherches dans ce domaine

    Ces critères mentionnent expressément les principes de PCAP®, mais d’autres principes de gestion des données peuvent être appropriés pour d’autres communautés, par exemple les principes CARE pour la gouvernance des données autochtones (en anglais seulement) ou d’autres principes propres à une communauté.

    La Stratégie de gouvernance des données des Premières Nations du Centre de gouvernance de l’information des Premières Nations constitue aussi une ressource utile.

  • Si la stratégie d’application des connaissances intégrée est confidentielle ou dirigée par les communautés, comment pouvons-nous présenter une proposition qui respecte les critères d’évaluation?

    Les équipes peuvent faire preuve de transparence et expliquer leur approche, notamment en suivant l’exemple des partenaires communautaires. La demande doit décrire les éléments généraux, par exemple :

    • la communauté concernée;
    • les méthodes de mobilisation utilisées;
    • la structure de gouvernance.
  • Comment les équipes doivent-elles traiter de l’aspect de la possibilité de financement qui concerne la mise à l’échelle des interventions?

    Veuillez consulter les critères d’évaluation 1a, 4b et 4e relatifs à la demande détaillée pour des précisions sur la manière dont les pairs évaluateurs examineront la capacité de mise à l’échelle.

  • Pouvez-vous nous faire part de quelques pratiques exemplaires en matière de production de rapports (aux communautés et au milieu universitaire)?

    Il appartient au candidat de décider des types de rapports utilisés. Pour les rapports aux IRSC, ceux-ci mettront à disposition un modèle conçu à cette fin. Ce modèle permet au candidat d’expliquer pourquoi il a privilégié un type de rapport ou de stratégie d’application des connaissances par rapport à un autre.

  • Quel est le concept sous-tendant le volet « résolution de conflits »?

    Dans leur proposition de recherche, les candidats doivent expliquer comment ils prévoient résoudre les conflits susceptibles de survenir, surtout dans leur travail avec les communautés. Étant donné qu’il s’agit d’une subvention d’équipe qui rassemble de nombreux intervenants, il sera important de montrer que le plan de gouvernance et de prise de décisions a été mûrement réfléchi et d’indiquer les mesures en place en cas de conflit.

  • Les demandes relatives aux Autochtones seront-elles évaluées par un comité d’évaluation par les pairs autochtone, ou des pairs évaluateurs autochtones seront-ils membres du comité?

    Nous recrutons des évaluateurs ayant une expertise autochtone, dont certains sont Autochtones. Il n’y a pas de comité autochtone distinct pour cet appel de propositions.

  • Les évaluateurs sont-ils répartis en fonction des domaines de recherche thématiques?

    Oui. Nous recrutons les évaluateurs en fonction des domaines de recherche thématiques en lien avec la possibilité de financement.

  • Les évaluateurs seront-ils tous bilingues? Les demandes comportant des éléments en français et en anglais ou des partenaires ou des UCP francophones et anglophones seront-elles évaluées par les mêmes évaluateurs?

    Non, les évaluateurs ne sont pas tous bilingues. Si une demande rédigée en français est reçue, les IRSC s’assureront que les évaluateurs à qui elle est confiée comprennent le français. Si des éléments sont en français (p. ex., les lettres d’appui) malgré le fait que la demande soit rédigée en anglais, tous les efforts seront consentis pour que celle-ci fasse l’objet d’une évaluation équitable.

  • Les équipes sont-elles censées donner suite à tous les commentaires formulés dans les évaluations de leur lettre d’intention, soit dans la proposition de 15 pages [18 pages en français] soit dans un document distinct?

    Non. On ne s’attend pas à ce que les équipes répondent aux commentaires contenus dans ces évaluations.

  • Les évaluateurs sont-ils affectés de manière à assurer une répartition égale des disciplines (recherche médicale, politiques, services sociaux, etc.) pour chaque demande, ou est-il possible qu’une demande soit confiée à deux (2) évaluateurs du secteur des sciences sociales?

    Tous les efforts seront consentis pour faire en sorte que les demandes soient évaluées par des évaluateurs experts dans une diversité de domaines.

  • Les IRSC feront-ils appel à des évaluateurs des lettres d’intention pour évaluer les demandes détaillées?

    Les évaluateurs des lettres d’intention seront invités à évaluer les demandes détaillées. On prévoit aussi recruter des pairs évaluateurs supplémentaires. Les demandes sont attribuées en fonction de la déclaration des conflits d’intérêts et de la capacité à évaluer des évaluateurs, qui peut changer de l’étape de la lettre d’intention à celle de la demande détaillée. On s’efforcera de confier chaque demande à au moins un évaluateur qui l’a examinée à l’étape de la lettre d’intention.

  • Les évaluateurs des demandes détaillées auront-ils accès aux évaluations effectuées à l’étape de la lettre d’intention?

    Non, ils n’y auront pas accès.

  • Est-il possible qu’on tienne compte des préoccupations à l’égard du programme et des objectifs de celui-ci en plus du classement d’une demande en fonction des cotes des évaluateurs?

    La cote globale attribuée repose sur les critères d’évaluation et doit tenir compte des forces, des faiblesses, des possibilités et des risques de la demande.

  • Quelle formation ou quels conseils les évaluateurs recevront-ils pour se prononcer sur la « stratégie de résolution de conflits »?

    Les pairs évaluateurs auront accès à la documentation transmise aux équipes. Ils pourront s’adresser au coordonnateur de l’évaluation par les pairs des IRSC s’ils ont des questions sur n’importe quel élément de la possibilité de financement.

  • Quelle documentation remettra-t-on aux évaluateurs en plus des critères d’évaluation précisés? Les pairs évaluateurs recevront-ils une formation?

    Les critères d’évaluation seront présentés aux évaluateurs de la même manière qu’ils le sont dans la possibilité de financement, et une séance de formation sera prévue. Comme la composition des comités d’évaluation sera très semblable à celle des comités établis pour la lettre d’intention, les membres connaîtront bien les objectifs de la possibilité de financement.

Processus de demande

  • Les IRSC transféreront-ils l’information recueillie à l’étape de la lettre d’intention à celle de la demande détaillée?

    Non, ils ne transféreront pas cette information à l’étape de la demande détaillée.

  • Est-il possible de rationaliser le processus de demande pour ce qui est des utilisateurs des connaissances principaux et des collaborateurs afin d’alléger le fardeau des candidats?

    Nous avons tenu compte du fardeau imposé aux candidats lors des préparatifs de cette possibilité de financement. Étant donné les systèmes et les processus actuels, les exigences sont les plus rationalisées possible.

  • Serait-il possible que les utilisateurs des connaissances principaux et les collaborateurs présentent la formation sur l’ACS+ au lieu d’avoir à suivre les tutoriels des IRSC sur le sexe et le genre à l’étape de la demande détaillée?

    Nous ne sommes pas en mesure de modifier les exigences. Les utilisateurs des connaissances principaux et les collaborateurs devront télécharger le certificat d’attestation de réussite des modules des IRSC.

  • Quelle est la date limite de présentation de la demande détaillée? Les IRSC pourraient-ils envisager de prolonger ce délai?

    La date limite de présentation de la demande détaillée est le 6 juillet 2022. Il nous est impossible de prolonger ce délai.

  • Quelle est la définition de « municipalité »?

    Dans le contexte de la possibilité de financement, les « villes » et les « municipalités » sont définies comme étant situées entièrement ou partiellement dans un moyen ou un grand centre de population, selon la définition de Statistique Canada. Pour obtenir plus de précisions, veuillez communiquer avec le Centre de contact.

  • Veuillez définir le terme « municipalité » et indiquer ses différences possibles avec une réserve aux termes de la Loi sur les Indiens. Comment pouvons-nous collaborer avec des organisations autochtones comme mandataires dans une ville aux prises avec des problèmes de racisme?

    Cette possibilité de financement se concentre sur le milieu urbain. Les fonds destinés au domaine de recherche thématique de la santé des Autochtones en milieu urbain doivent être liés aux populations autochtones qui se trouvent dans l’environnement urbain défini dans la possibilité de financement. Aux fins de cette possibilité de financement, les termes « ville » et « municipalité » sont employés indistinctement et se définissent comme des agglomérations entièrement ou partiellement situées dans un moyen ou un grand centre de population selon la définition de Statistique Canada. Veuillez vous référer aux définitions de moyen et de grand centre de population pour vérifier si une réserve ou un établissement est considéré comme faisant partie ou non d’une municipalité canadienne. Consultez également la page Web de Services aux Autochtones Canada sur les réserves urbaines.

    Les réserves urbaines, les gouvernements des Premières Nations, inuits ou métis ou les organismes sans but lucratif autochtones œuvrant dans des municipalités (c.-à-d. situés entièrement ou partiellement dans un moyen ou un grand centre de population selon la définition de Statistique Canada) sont admissibles comme UCP. Veuillez consulter la section « Administration des fonds » de la possibilité de financement pour vous renseigner davantage sur les établissements admissibles.

  • La lettre du partenaire ne peut porter que sur une période de cinq (5) ans. Y aura-t-il une mise à jour?

    Il s’agit d’une limite du système RechercheNet. Le Centre de contact peut vous aider à contourner la limite relative aux lettres du partenaire.

  • Comment les critères d’évaluation sont-ils pondérés?

    Les critères d’évaluation sont de pondération égale. Il incombe à l’évaluateur d’établir une cote globale.

  • Pouvez-vous expliquer ce que signifie « contribuer à l’avancement de la science de la mise en œuvre »?

    Comme l’indique la possibilité de financement, contribuer à l’avancement de la science de la mise en œuvre signifie « Comprendre comment mettre en œuvre des interventions fondées sur des données probantes dans différents contextes urbains et différentes populations de façon à produire des résultats positifs et équitables en matière de santé dans le monde réel. Il s’agit notamment de comprendre comment il est possible d’adapter des interventions bien précises en fonction des différences de région, d’âge, de culture, de genre ou de conditions et comment on peut mettre les interventions à l’échelle compte tenu du contexte social, politique, économique, culturel et géographique unique. Veuillez consulter la documentation du webinaire pour des ressources supplémentaires sur la science de la mise en œuvre.

  • Comme il s’agit d’une subvention de 6 ans, il se peut qu’on ne connaisse pas encore comment une partie de la mise en œuvre sera assurée plus tard, les programmes étant encore en développement. Est-il acceptable de rédiger sa demande en fonction de ce facteur?

    En rédigeant votre demande, vous devriez décrire un scénario sur six (6) ans. Le soutien offert par les intervenants devrait être de la même durée.

  • Comment les IRSC préfèrent-ils que les candidats présentent le volet sur la gouvernance? Sous forme de texte suivi, d’aides visuelles comme un organigramme, etc.?

    C’est aux candidats qu’il revient de décider de la manière la plus claire de présenter la structure de gouvernance et la stratégie de résolution de conflits.

  • Les IRSC veulent-ils voir les villes collaborer entre elles?

    Oui. Étant donné la nature des travaux de recherche, on s’attend à ce que les municipalités collaborent entre elles et avec l’équipe de recherche tout au long du projet.

  • Les candidats principaux et les cocandidats peuvent-ils assumer un rôle dans plusieurs demandes?

    Oui, les candidats principaux et les cocandidats peuvent participer à plusieurs demandes.

  • Comme l’emplacement géographique est particulièrement important pour le travail auprès des communautés autochtones, comment devrait-on concevoir les éléments de la mise à l’échelle dans ce contexte? La mise en commun de méthodes et l’organisation d’un sommet, par exemple?

    Dans les contextes autochtones, on peut comprendre la mise à l’échelle comme l’adaptation d’interventions ou de leçons apprises à d’autres centres, leur diffusion ou leur mise en commun. En voici des exemples dans des cadres autochtones :

    • mise en œuvre d’une intervention adaptable aux changements dans l’environnement immédiat;
    • mise en œuvre d’une intervention auprès d’autres personnes, groupes ou populations;
    • intégration d’une intervention à d’autres interventions déjà existantes;
    • adoption d’une intervention en tant que pratique, politique ou programme organisationnel.

    Pour obtenir plus de renseignements, veuillez consulter les objectifs de la possibilité de financement et les critères d’évaluation établis pour la demande détaillée, en particulier la section 4, « Impact de la recherche ».

Budget

  • Le financement annuel maximum accordé par les IRSC est-il de 500 000 $?

    Les IRSC verseront jusqu’à 500 000 $ par année, pour une période d’au plus six (6) ans. Vous ne devez pas dépasser cette limite annuelle dans votre demande.

  • Le budget total doit-il être réparti en parts égales entre les années, ou l’équipe peut-elle demander des montants différents selon l’année?

    Les équipes peuvent demander des montants différents pour chaque année (jusqu’à concurrence de 500 000 $ par année), mais le financement des IRSC sera divisé également sur toutes les années du projet.

  • Les IRSC ont-ils conçu un modèle de budget pour l’étape de la demande détaillée?

    Un tel modèle n’existe pas pour cette étape. Le candidat doit entrer les montants dans les cases voulues du module Budget dans RechercheNet et joindre une justification sous forme de texte libre dans lequel il doit fournir la ventilation des postes budgétaires et la raison d’être de chacun d’eux.

  • Pouvez-vous fournir des renseignements supplémentaires sur ce que les IRSC considèrent comme les coûts de l’intervention par opposition aux coûts de mise en œuvre de celle-ci? Pouvez-vous donner des exemples?

    Les fonds des IRSC sont censés soutenir la recherche et les travaux scientifiques, mais non l’infrastructure ou les programmes. Les IRSC ne financent pas l’intervention en tant que telle, mais l’argent pourrait servir à payer les travaux de planification et de mise en œuvre d’une étude ou ceux de planification d’une évaluation (c.-à-d. tout ce qui est en lien avec la recherche).

    Voici un exemple concernant des voies cyclables : Les fonds des IRSC ne peuvent pas servir à les aménager, mais ils peuvent être utilisés pour soutenir le travail nécessaire à l’étude et à l’évaluation de leur aménagement ou de la façon dont elles ont amélioré ou non la santé de la collectivité, par exemple.

    Voici un autre exemple, concernant un programme de déjeuners santé : Les fonds des IRSC ne peuvent pas servir à payer les coûts du programme ou la nourriture, mais ils peuvent servir à financer les visites de chercheurs dans des écoles pour recueillir de l’information au sujet de l’incidence du programme sur la santé ou le travail d’une personne avec les experts en promotion de la santé afin de décider des écoles où le programme sera mis en œuvre, par exemple.

    Veuillez consulter le Guide d’administration financière des trois organismes pour obtenir des conseils à cet égard. Les candidats sont invités à examiner la section Coûts admissibles de la possibilité de financement pour se renseigner et à communiquer avec le Centre de contact s’ils ont des questions sur l’admissibilité de certaines dépenses.

    Voici une liste partielle des façons dont les fonds de l’ASPC peuvent être utilisés :

    • Ajouter des éléments à une intervention (p. ex., ajouter un programme ou une politique à une intervention qui autrement serait uniquement axée sur l’infrastructure);
    • Accroître le nombre et la diversité des activités dans une intervention;
    • Contribuer à étendre l’intervention à d’autres communautés;
    • Faciliter la participation multisectorielle et son approfondissement.

    Veuillez consulter la section Coûts admissibles de l’ASPC pour obtenir plus de renseignements.

  • Pouvons-nous indiquer dans la demande détaillée les fonds dépensés par notre partenaire (sous forme de contributions en espèces ou en nature) s’ils ont un lien direct avec notre étude de mise en œuvre?

    Oui. Si un partenaire dépense déjà de l’argent pour votre étude, vous pouvez mentionner ses fonds sous forme de contributions en espèces ou en nature.

  • Y a-t-il du soutien disponible si, par exemple, des partenaires décident de ne plus financer l’intervention pour la totalité du cycle de la subvention, mais que la proposition en science de la mise en œuvre est retenue?

    Les fonds des IRSC ne pourront pas soutenir le coût de l’intervention, mais les équipes sont invitées à trouver d’autres appuis ailleurs. Les candidats doivent inclure dans leur demande un plan de résolution des problèmes auxquels ils ne peuvent rien aux fins d’examen par les pairs évaluateurs. C’est au candidat qu’il revient de démontrer comment son projet est réalisable et de proposer des stratégies d’atténuation si les circonstances entourant l’intervention changeaient.

  • Les équipes doivent-elles préparer un plan distinct si elles réussissent à obtenir les fonds des IRSC, mais non le financement supplémentaire de l’ASPC?

    Comme l’indique la possibilité de financement, « Les candidats intéressés par le financement supplémentaire de l’ASPC doivent s’assurer que leur projet est viable sans le supplément, étant donné que l’obtention d’une subvention des IRSC ne donne pas automatiquement accès au financement supplémentaire de l’ASPC. »

  • Des chercheurs indépendants peuvent-ils agir à titre d’experts-conseils du projet?

    Oui, mais ils ne peuvent être rémunérés à même les fonds de la subvention.

    Comme le stipule le Guide d’administration financière des trois organismes, « Les subventions versées par l’organisme ne doivent pas servir à rémunérer les titulaires de subvention ni les individus qui mènent des recherches de façon indépendante en vertu de leurs conditions de travail, notamment les chercheurs des universités, des hôpitaux ou des instituts de recherche. »

  • Devons-nous consacrer un montant ou un pourcentage standard du financement à l’administration du projet, aux activités d’évaluation, etc.?

    La possibilité de financement ne précise aucune exigence ni aucun montant standard à cet égard. Les candidats doivent démontrer comment leur projet serait exécuté, notamment au moyen des affectations budgétaires.

  • Les partenaires, les collaborateurs ou d’autres intéressés doivent-ils fournir un financement de contrepartie?

    La possibilité de financement n’exige pas de financement de contrepartie des collaborateurs et des partenaires. Cependant, elle stipule que les fonds des IRSC ne doivent pas servir à couvrir les coûts de l’intervention. En outre, « Les candidats sont tenus de joindre une lettre du partenaire décrivant l’entente avec le partenaire (c.-à-d. municipalité, industrie, organisme caritatif, etc.) qui couvrira les coûts de l’intervention si leur demande est sélectionnée. » Consultez la section Comment faire une demande.

  • Quel est le pourcentage acceptable pour les contributions en nature?

    Comme cette possibilité de financement n’exige pas de contributions en nature, il n’y a pas de pourcentage acceptable à recommander.

  • Les fonds des IRSC peuvent-ils servir à financer des partenaires ou à partager des ressources avec eux?

    Les fonds des IRSC peuvent être transférés aux organisations partenaires du moment que l’établissement financé le permet.

  • Les coûts associés à l’élaboration des protocoles d’application des connaissances intégrée sont-ils considérés comme étant admissibles? Le volet « mobilisation des connaissances » est indiqué comme un coût acceptable, mais peut-on prévoir un montant au budget pour l’application des connaissances intégrée à titre d’approche méthodologique?

    Oui. Vous pouvez prévoir au budget un montant pour l’application des connaissances intégrée (ACi) en tant qu’approche ou protocole méthodologique, étant donné qu’elle est considérée comme étant une stratégie de mobilisation des connaissances.

    En outre, les IRSC reconnaissent des coûts admissibles particuliers pour encourager le recours à l’ACi comme approche ou protocole méthodologique. Un exemple est l’allocation de détachement, qui permet de verser jusqu’à 50 000 $ par utilisateur des connaissances, par subvention. Elle vise à encourager les utilisateurs des connaissances à participer à l’approche intégrée de mobilisation des connaissances et à éliminer les obstacles financiers qui empêcheraient leur collaboration.

    En outre, le chapitre 9 de l’Énoncé de politique des trois conseils 2 (EPTC 2), Recherche impliquant les Premières Nations, les Inuits ou les Métis du Canada tient compte de l’importance de respecter la culture et les traditions autochtones ainsi que du besoin d’engager des dépenses à cet égard dans la réalisation de recherches, y compris pour des protocoles d’élaboration d’initiatives d’application des connaissances intégrée qui incluent la mobilisation communautaire. Ainsi, les IRSC et les autres organismes considèrent les dépenses suivantes comme admissibles au paiement à même le financement octroyé au titulaire de la subvention (avec pièces justificatives à l’appui) :

    • Coûts liés à la mobilisation et à la participation de la communauté, ce qui comprend le matériel promotionnel adapté à la culture (p. ex., tabac, étoffe, festins et cadeaux offerts lors de cérémonies) et les remboursements en espèces des frais de participation, selon une méthode qui convient à la personne ou à la communauté recevant le remboursement;
    • Frais liés à la passation de contrats ou à l’embauche de consultants pour des activités de mobilisation des connaissances et de communication destinées aux aînés, aux membres de la communauté et aux gardiens du savoir autochtone participant aux activités liées à la communauté autochtone.
  • L’organisme de l’UCP peut-il recevoir des fonds directement? Le montant de l’allocation de détachement peut-il être supérieur à 50 000 $?

    La somme maximale que les candidats peuvent prévoir dans le budget pour le détachement de l’UCP est de 50 000 $. Cependant, une fois les fonds versés à l’établissement identifié comme « établissement payé » dans la demande, il est possible de transférer plus de fonds à l’organisation de l’UCP à condition que ce soit en conformité avec le Guide d’administration financière des trois organismes.

  • RechercheNet indique : « Allocation de détachement : jusqu’à 50 000 $ par utilisateur des connaissances, par subvention. » Est-ce que cela signifie que l’allocation est de 50 000 $ en tout par année ou par UCP?

    La somme de 50 000 $ est le montant standard établi par les IRSC pour l’allocation de détachement dans tous leurs programmes. Il s’agit du montant maximum par subvention pour chaque UCP.

Développement des capacités

Consolider le développement des capacités, par le Dr Norman Rosenblum, IRSC

  • Les principes directeurs ciblent-ils plus de groupes que celui des chercheurs?

    Comme les principes directeurs peuvent s’appliquer à des contextes autres que celui de la recherche (p. ex., un cadre municipal), ils pourraient s’appliquer aux responsables de la mise en œuvre.

  • Qu’entend-on par « approche de formation du XXIe siècle »?

    Cette approche repose sur les quatre C : la pensée Critique, la Communication, la Collaboration et la Créativité. Pensée critique : une vision plus diversifiée ou élargie de l’analyse critique est nécessaire; communication : elle est essentielle dans sa propre discipline et entre les secteurs, sur le plan individuel et en groupe, oralement et par écrit; collaboration : elle concerne le travail interdisciplinaire et interculturel et le recours à différentes modalités (p. ex., présentiel, numérique) afin de collaborer de la manière la plus optimale; créativité : il faut essayer d’être plus créatif et faire place à l’inventivité.

  • Pouvez-vous donner des exemples de programmes de formation élaborés à l’extérieur du Canada?

    Le Eureka Institute for Translational Medicine [Institut Eureka pour la médecine translationnelle] (en anglais seulement) propose un programme mondial cherchant à édifier et à favoriser une communauté internationale de professionnels de la médecine translationnelle pour procurer des bienfaits concrets aux patients et à la société en général. Jusqu’à présent, environ 500 personnes dans le monde ont suivi une formation dans le cadre de ce programme. Principal résultat : 63 % des étudiants ont signalé un changement dans l’orientation de leur programme scientifique – un indicateur attendu et souhaité.

Plateforme de formation en recherche sur les villes en santé

Présentation de l’équipe de la plateforme de formation SMART, par les Drs David Ma, Laurette Dubé et Miyoung Suh

  • Veuillez fournir plus de renseignements sur la plateforme de formation SMART. Combien de stagiaires prévoit-on former chaque année? Comment l’accent mis sur l’alimentation et les systèmes alimentaires s’applique-t-il aux domaines de recherche thématiques de la possibilité de financement Subventions d’équipe en SMOVS?
    • D’autres possibilités s’offriront aux stagiaires et aux stagiaires associés de la plateforme SMART au fil de l’évolution des plans. Veuillez aussi consulter le tableau ci-dessous. Nous cherchons à fournir une formation par des voies et des approches multiples afin de maximiser les possibilités pour les étudiants à la grandeur du Canada.
    • La plateforme de formation SMART prévoit actuellement la participation d’environ 30 à 40 étudiants par année à sa séance informelle de type « café des méthodes » et à ses cours de mise en œuvre. Elle ajoutera des sections au besoin. Les cours sont offerts aux étudiants affiliés à des chercheurs qui font partie de la plateforme de formation SMART, à l’IRVS ainsi qu’à tout autre étudiant financé par les IRSC, le CRSNG ou le CRSH.
    • Tout d’abord, l’équipe de la plateforme SMART accordera à des étudiants dix (10) bourses de voyage pour l’atelier d’été de 2022. Cette information se trouvait dans l’affiche que les IRSC ont récemment distribuée à tous les titulaires de subvention de l’IRVS au nom de l’équipe SMART, qui prévoit une expansion de cette offre au cours des prochaines années.
    • Des possibilités de formation seront aussi proposées par l’entremise de webinaires gratuits destinés à un nombre illimité d’étudiants (le premier aura lieu le 3 mai 2022).
    • L’équipe continue de repérer des possibilités de formation accessibles à tous les stagiaires.
    • Elle a choisi l’alimentation comme axe principal, puisqu’il s’agit d’un domaine d’expertise commun aux trois CP et du domaine d’intérêt central des trois projets « Villes intelligentes » financés par Infrastructure Canada. Toutefois, selon l’approche de la convergence par la conception, toutes les facettes d’une ville « en santé » seront abordées. L’accent de la plateforme SMART est mis sur l’alimentation et les systèmes alimentaires, mais la formation traite de la théorie et de la pratique de la science de la mise en œuvre, des villes en santé et des villes intelligentes, qui sont transférables à d’autres disciplines.
  • Quelles initiatives de formation seront offertes aux stagiaires qui ne sont pas affiliés à la plateforme SMART?

    Le tableau ci-dessous résume les options pour les stagiaires et les stagiaires associés de la plateforme SMART. D’autres s’offriront à eux au fil de l’évolution des plans pour la plateforme.

    Les candidats présentent leur demande directement au corps professoral de SMART. Stagiaires associés à des projets ou à des équipes de l’IRVS (y compris aux 6 équipes de recherche en science de la mise en œuvre) Stagiaires actuels de tout établissement d’enseignement financé par les IRSC, le CRSNG ou le CRSH
    Stagiaire SMART Stagiaire de l’IRVS Tous les autres stagiaires diplômés
      Stagiaire associé SMART  
    Possibilités et avantages pour les stagiaires et les stagiaires associés de la plateforme SMART
    Stagiaire SMART Stagiaire associé SMART
    Allocation Oui – par l’entremise du corps professoral de SMART S. O.
    Soutien pour la conférence annuelle de SMART et de l’IRVS Oui – par l’entremise du corps professoral de SMART S. O.
    Atelier d’été – minicafé des méthodes et version allégée de laboratoire de conception Facultatif; soutien offert par les services administratifs de SMART Facultatif; soutien pour les déplacements offert par les services administratifs de SMART pour l’année pilote 1 (2022); à l’étude pour les prochaines années
    Possibilités d’apprentissage pratique externes Oui À l’étude
    Café des méthodes de mise en œuvre (automne) à l’Université de Guelph (en ligne) Obligatoire – exemption des frais Frais exigés; nombre de places limité
    Laboratoire de conception de la mise en œuvre (hiver) à l’Université de Guelph (en ligne) Obligatoire – exemption des frais Frais exigés; nombre de places limité
    Webinaires et ateliers en ligne sur la science de la mise en œuvre Facultatifs et gratuits Facultatifs et gratuits
    Webinaires et ateliers en ligne de perfectionnement des stagiaires Facultatifs et gratuits Facultatifs et gratuits
    Accès au portail de formation en ligne (c.-à-d. aux webinaires archivés) Oui Oui
    Bulletin et liste d’envoi Automatique Automatique
    Cours de microcertification En cours d’élaboration En cours d’élaboration
    Certificat/relevé de notes de l’université en science de la mise en œuvre En cours d’élaboration En cours d’élaboration
    Possibilités de formation internationales En cours d’élaboration En cours d’élaboration
  • La plateforme de formation SMART offrira-t-elle des programmes virtuels? Les cours de base seront-ils ouverts à tous les stagiaires?

    La plateforme de formation SMART concevra des webinaires offerts à tous. Afin de protéger l’intégrité du contenu des cours, les étudiants doivent s’inscrire au café des méthodes et au laboratoire de mise en œuvre de la plateforme. Les stagiaires associés SMART (voir le tableau ci-dessus) peuvent aussi s’inscrire à ces cours avec la permission du professeur et auraient à payer les frais de scolarité applicables.

  • Quelles lacunes dans les possibilités de la plateforme de formation SMART pourraient être comblées par la participation des équipes titulaires d’une subvention en science de mise en œuvre?

    La plateforme SMART (en anglais seulement) est disposée à fournir une perspective unique englobant dans ses activités de formation liées aux villes en santé (p. ex., le café des méthodes) un éventail de disciplines qui permettra aux étudiants de se situer et de voir les rapports entre leur travail et d’autres initiatives dans ce domaine.

    Son approche est la convergence par la conception, et l’un des éléments clés réside dans la capacité à intégrer les données et les technologies numériques dans la recherche et l’action concrète, capacité que l’équipe SMART peut renforcer de manière synergique.

    La plateforme accueille les contributions supplémentaires qui améliorent le contenu de ses possibilités de formation ou l’intégration d’activités de mise en œuvre pertinentes que les équipes pourraient déjà avoir élaborées. Ce travail est coordonné par son comité de l’éducation.

    L’un des principaux objectifs de la plateforme de formation SMART consiste à accélérer et à approfondir la collaboration multidisciplinaire en science de la mise en œuvre. Les possibilités et les discussions progresseront par l’entremise de minisommets de recherche réunissant les intervenants et les chercheurs concernés.

  • Pouvez-vous fournir la liste complète du corps professoral de SMART?

    La liste complète du corps professoral est disponible sur le site web de la plateforme de formation SMART (en anglais seulement).

  • Quel montant du budget devrait être affecté à la « représentation de l’équipe au conseil de coordination de l’IRVS »? Et quelles sont les attentes à l’égard du temps et des ressources à consacrer? 

    Le comité consultatif externe de la plateforme de formation SMART (le conseil de coordination de l’IRVS) est présidé par la Dre Laurette Dubé de l’Université McGill. Il se réunira deux ou trois fois par année en vue de fournir des conseils généraux, de livrer ses réflexions et de faciliter l’accès à de nouvelles possibilités. Des postes sont disponibles pour un ou deux représentants de projets de l’IRVS au sein du comité consultatif externe de SMART. Les membres actuels sont :

    • Mary L’Abbé, Université de Toronto
    • Jim House, Université du Manitoba
    • Ziynet Boz, Université de la Floride
    • Shaun Brown, Université de Pittsburgh
    • Spencer Moore, Université Wageningen, Pays-Bas
    • Rickey Yada, Université de la Colombie-Britannique
    • Représentant des trois organismes

    Une fois les six équipes « Villes en santé » des IRSC sélectionnées, les CP désignés de chacune siégeront au comité stratégique de la plateforme de formation SMART.

  • Les équipes devront-elles collaborer avec la Plateforme de formation en recherche sur les villes en santé (PFRVS)?

    L’équipe de la plateforme de formation SMART (en anglais seulement), retenue au concours de la PFRVS, a fait une présentation lors du webinaire. À l’étape de la demande détaillée, les pairs évaluateurs seront à l’affût de preuves que les équipes connaissent la plateforme et son rôle à l’appui du développement des capacités et qu’elles commencent à réfléchir à la nature de leur collaboration avec elle. À titre de rappel, le critère d’évaluation n’est pas explicitement lié à la PFRVS. Il sert à évaluer la « [m]esure dans laquelle la proposition soutient l’Initiative de recherche sur les villes en santé et les autres entités financées ». Les demandes doivent démontrer que les équipes réfléchissent à leur relation avec les autres initiatives et à leur contribution au développement des capacités en matière de science de la mise en œuvre.

    En outre, comme le stipule la section Conditions de financement de la possibilité de financement, « les projets financés doivent collaborer avec l’Initiative de recherche sur les villes en santé (IRVS) et en augmenter l’impact en se conformant à la directive suivante :

    • L’équipe de recherche en science de la mise en œuvre dans le domaine des villes en santé (SMOVS) doit réserver des fonds pour participer à chaque réunion annuelle de l’IRVS dans son ensemble.
      • On s’attend à ce qu’environ cinq (5) réunions annuelles se tiennent au Canada.
      • On s’attend à ce qu’au moins un (1) membre de l’équipe principale participe aux réunions au nom de l’équipe, en compagnie de tous les stagiaires financés par la subvention d’équipe ou affectés aux projets de l’équipe dans le cadre de leur formation.
      • Les superviseurs des stagiaires sont aussi fortement encouragés à participer aux réunions annuelles.
    • L’équipe de recherche en science de la mise en œuvre dans le domaine des villes en santé doit réserver des fonds, être représentée au conseil de coordination de l’IRVS (une fois établi) et participer activement à ses activités, afin de faciliter la collaboration entre les volets de l’IRVS dans son ensemble. On s’attend à ce que ce conseil se réunisse de trois à quatre fois par année par vidéoconférence.
    • Les équipes de recherche en SMOVS doivent participer et permettre à leurs stagiaires de participer aux activités associées à la Plateforme de formation en recherche sur les villes en santé, qui incluent l’échange de connaissances, le perfectionnement des compétences professionnelles, le développement professionnel et la création d’un réseau de stagiaires consacré à la recherche interventionnelle en santé des populations et à la science de la mise en œuvre. »
  • Quel montant du budget devrait être affecté à la participation aux réunions annuelles?

    Des fonds doivent être réservés à la participation d’au moins un membre de l’équipe principale et de tous les stagiaires du projet aux réunions annuelles. Il faut prévoir les frais de déplacement, d’hébergement et de repas habituels sur deux jours. L’équipe SMART prévoit tenir trois réunions annuelles en personne (en 2022, 2024 et 2026) et trois réunions virtuelles (en 2023, 2025 et 2027). La première conférence annuelle aura lieu à Ottawa du 17 au 19 novembre 2022 (deux journées entières).

  • Comment les pairs évaluateurs seront-ils informés du volet formation présenté lors du webinaire?

    Les pairs évaluateurs seront renseignés sur l’IRVS en général et la plateforme SMART, qui ne constitue qu’un exemple des diverses possibilités de formation offertes.

  • À quel point les candidats devraient-ils concentrer leurs activités et leurs programmes de formation sur les chercheurs en début de carrière de l’équipe par opposition à un public plus vaste (la collectivité)?

    Il appartient aux équipes de décider de l’accent devant être mis sur les activités de formation, tout en gardant à l’esprit : 1) qu’un des objectifs de la possibilité de financement consiste à : « développer les capacités en science de la mise en œuvre : développer les capacités parmi les chercheurs (y compris les chercheurs en début de carrière) et les spécialistes de la mise en œuvre. Il s’agit notamment d’offrir des possibilités de collaborer à d’autres efforts de développement de capacités de l’IRVS (p. ex., Plateforme de formation en recherche sur les villes en santé et bourses de recherche de l’IRVS) et de stimuler la formation d’un réseau de « villes apprenantes » qui communiquent mutuellement leurs expériences et en tirent des leçons, soutiennent l’amélioration continue et conçoivent des solutions de mise à l’échelle prometteuses »; 2) que les pairs évaluateurs se prononceront sur les propositions en examinant, entre autres critères, la mesure dans laquelle les projets de recherche répondent aux objectifs de la possibilité de financement.

  • Les équipes doivent-elles prévoir utiliser une partie de leur financement pour la participation des stagiaires aux réunions annuelles et à l’atelier d’été de la plateforme de formation SMART?

    En ce qui concerne les réunions annuelles, des fonds doivent être réservés pour la participation d’au moins un membre de l’équipe principale et de tous les stagiaires du projet. En ce qui concerne l’atelier d’été, service offert par la plateforme de formation SMART, c’est aux candidats qu’il revient de décider s’ils veulent se prévaloir de cette possibilité de formation. Si tel est le cas, ils devront prévoir des sommes à cet effet dans leur budget.

  • L’Initiative de recherche sur les villes en santé des IRSC intégrera-t-elle des innovations en matière de formation (p. ex., en organisant des rencontres entre les titulaires de subvention d’équipe en SMOVS pour échanger leurs points de vue et leurs projets entre les disciplines)?

    La mobilisation des connaissances constitue le but principal des réunions annuelles que la plateforme de formation SMART organisera. Elles aideront à édifier une communauté de pratique au sein de laquelle les intervenants se rencontreront pour échanger sur leurs expériences et leurs possibilités.

  • Serait-il possible de tenir les réunions annuelles de l’IRVS dans des villes différentes, par roulement?

    Les réunions annuelles auront lieu en personne tous les deux ans. Seul le lieu de la première rencontre (Ottawa) a été déterminé jusqu’à présent. Comme la plateforme de formation SMART tiendra ces rencontres annuelles, c’est à elle qu’il revient de choisir leur emplacement.

Financement supplémentaire : généralités

  • Les équipes qui demandent un financement supplémentaire de l’ASPC ou du NHMRC seront-elles perçues plus favorablement lors de l’évaluation par les pairs?

    Non, elles ne seront pas vues plus favorablement si elles demandent aussi un financement supplémentaire.

  • Combien d’équipes demandent un financement supplémentaire? L’utilisation du financement supplémentaire est-elle garantie dans le cadre de ce concours?

    Onze (11) équipes demandent le financement supplémentaire de l’ASPC, et neuf, celui du NHMRC. Comme le financement de l’ASPC et du NHMRC est supplémentaire, il n’est pas garanti, à moins que les demandes les mieux classées aux IRSC incluent une demande de fonds à l’ASPC ou au NHMRC et que ces organismes les jugent subventionnables.

Financement supplémentaire de l’ASPC

  • A-t-on droit à une page supplémentaire pour rédiger la demande de financement supplémentaire à l’ASPC?

    Veuillez consulter la section Comment faire une demande de la possibilité de financement. À la tâche « Joindre d’autres documents relatifs à la demande », vous devez indiquer l’ASPC dans le tableau des participants. Vous devez également joindre plusieurs documents sous « Autre » à cette tâche, y compris un modèle de budget détaillé, un plan d’évaluation et une lettre d’appui. Pour obtenir tous les détails, veuillez consulter la possibilité de financement.

  • Quels sont les antécédents et les domaines d’expertise des pairs évaluateurs? Les évaluateurs seront-ils les mêmes pour les demandes présentées aux IRSC et à l’ASPC à l’étape de la demande détaillée? Le classement des demandes de financement supplémentaire à l’ASPC reposera-t-il seulement sur la cote accordée pour celui-ci?

    Les pairs évaluateurs seront les mêmes pour les demandes aux IRSC et à l’ASPC. Leur gamme d’expertise et d’antécédents correspondra au domaine de recherche thématique de votre projet. Vous pouvez suggérer dans votre demande des évaluateurs auxquels les IRSC pourraient faire appel, au besoin, pour combler les lacunes sur le plan de l’expertise. Les demandes sélectionnées par les IRSC et pertinentes pour l’ASPC seront financées selon le classement pour le volet « ASPC ».

  • Qui est admissible à servir de tiers évaluateur? Comment une équipe peut-elle en désigner un? Quel est son rôle?

    Le tiers évaluateur ne doit pas être membre de l’équipe de recherche principale. Il doit être un chercheur ou un évaluateur qualifié par la Société canadienne d’évaluation et posséder de l’expertise en évaluation de l’intervention. Il ne peut pas participer à la conception ni à la mise en œuvre de l’intervention. Il peut faire partie d’une autre section du même organisme, par exemple, une faculté universitaire différente, mais ne peut pas être membre de l’équipe de recherche principale. Le tiers évaluateur a pour rôle de valider les données du projet et leur interprétation. Sa présence constitue une exigence de toutes les ententes conclues en vertu du Fonds pour la santé des Canadiens et des communautés (FSCC) de l’ASPC, que le candidat fasse partie ou non d’un établissement d’enseignement. Le budget peut inclure les coûts associés à cette exigence.

  • Les pièces jointes à la demande de fonds à l’ASPC doivent-elles être ajoutées à une demande de financement supplémentaire au NHMRC?

    Oui. Les pièces jointes concernant la demande à l’ASPC font partie du dossier de la demande détaillée. Ainsi, elles doivent être incluses dans les documents joints à la demande de financement supplémentaire au NHMRC si des fonds supplémentaires sont également demandés à l’ASPC.

  • Quelle est le facteur de pondération de chaque critère d’évaluation des demandes à l’ASPC?

    Un classement séparé des demandes de financement supplémentaire à l’ASPC sera établi en fonction de tous les critères d’évaluation qui s’appliquent. Aucun facteur de pondération n’est attribué aux critères de l’ASPC. Il appartiendra aux pairs évaluateurs de décider de l’importance des divers éléments après avoir examiné la demande dans son ensemble.

  • Les demandes de financement supplémentaire à l’ASPC feront-elles l’objet de commentaires?

    Vous ne recevrez pas de commentaires sur votre demande à l’étape de la lettre d’intention. À cette étape, les demandes de financement supplémentaire à l’ASPC étaient évaluées selon le mode « satisfait/ne satisfait pas ». Celles qui ne respectaient pas les exigences ont été écartées. À l’étape de la demande détaillée, les pairs évaluateurs examineront le volet ASPC à l’aide des critères établis pour cet organisme et précisés dans la possibilité de financement. Des commentaires et des notes de l’agent scientifique portant précisément sur les demandes de financement supplémentaire à l’ASPC seront fournis.

  • Les lettres d’appui des UCP (s’il s’agit des mêmes) peuvent-elles être utilisées pour les deux propositions?

    Oui, les lettres d’appui des UCP et des partenaires peuvent être réutilisées dans la demande détaillée et celle de financement supplémentaire à l’ASPC si elles répondent aux exigences.

  • La proposition à l’ASPC doit-elle inclure des partenaires décideurs ou responsables des politiques ou des collaborateurs seulement?

    Il n’est pas nécessaire d’inclure des décideurs ou des responsables des politiques dans les propositions à l’ASPC. Comme est mentionné dans la section Comment faire une demande (Entrer l’information sur la proposition) de la possibilité de financement, vous devez clarifier la portée de l’appui de dirigeants pertinents de la communauté, d’autres membres de la communauté, d’organisations ou de décideurs pertinents des gouvernements fédéral, provinciaux, territoriaux ou autochtones et du milieu de la recherche, y compris des détails sur l’établissement de la ou des relations.

  • Les équipes peuvent-elles avoir un représentant de l’ASPC comme partenaire ou collaborateur?

    Un représentant de l’ASPC peut être considéré comme étant un partenaire ou un collaborateur seulement pour les projets qui ne reçoivent pas le financement supplémentaire de l’ASPC. Ce représentant ne doit pas été identifié dans la demande de financement supplémentaire à l’ASPC, mais pourrait cependant assumer un rôle d’observateur, et ce, seulement après l’octroi du financement. Cette inclusion serait autrement susceptible d’être perçue comme un conflit d’intérêts.

  • Pouvons-nous obtenir de l’aide pour répondre aux exigences relatives à la proposition à l’ASPC?

    Si vous avez besoin d’aide pour répondre aux exigences de l’ASPC, veuillez communiquer avec le Centre de contact des IRSC et non directement avec l’ASPC.

  • Pour « contribuer à étendre l’intervention à d’autres communautés » grâce au financement de l’ASPC, il faudra faire appel à plus de partenaires pour la mise en œuvre et ajouter des membres à l’équipe. Où doit-on inclure ces personnes dans la demande?

    Tous les membres de l’équipe doivent être mentionnés dans la liste et le tableau des participants. Si vous ajoutez des personnes pour le volet relatif à l’ASPC, le nom de ces personnes doit figurer dans la liste et le tableau.

  • L’ASPC recevra-t-elle la demande détaillée ou seulement les documents qui lui sont destinés?

    En vertu de l’entente entre les deux organismes, les IRSC transmettront la demande détaillée à l’ASPC.

  • Un membre d’Environnement et Changement climatique Canada serait-il considéré comme d’importance égale qu’un observateur de l’ASPC, étant donné que nous travaillons dans le domaine de la pollution de l’air, des sols et de l’eau?

    Il appartient à l’équipe de justifier ses membres et l’importance de leur rôle pour le projet.

  • L’inclusion de plus de deux (2) municipalités renforcerait-elle la demande présentée à l’ASPC, et serait-elle ainsi favorisée?

    Non, votre demande ne serait pas favorisée si vous mentionniez plus que le minimum de deux (2) municipalités. Il incombe à l’équipe d’expliquer pourquoi l’ajout de municipalités améliore le projet dans son ensemble.

  • Les sections de la demande qui concernent l’ASPC (p. ex., le plan de mesure et d’évaluation du rendement, le budget) seront-elles examinées par les pairs évaluateurs ou par le personnel de l’ASPC?

    Ces sections seront entièrement examinées par les pairs évaluateurs et consultées par le personnel de l’ASPC. Celui-ci ne cotera ni ne classera les demandes, mais il examinera le budget et le plan de mesure du rendement pour en vérifier l’admissibilité.

  • Pourra-t-on utiliser le financement supplémentaire de l’ASPC pour le déploiement de l’intervention dans des collectivités plus rurales par opposition à des milieux urbains?

    Non. Comme le stipule la possibilité de financement, les activités de recherche décrites doivent être liées à une intervention dans une municipalité entièrement ou partiellement située dans un moyen ou un grand centre de population selon la définition de Statistique Canada.

Financement supplémentaire de l’ASPC : budgets

  • Devons-nous préparer un budget distinct pour le financement supplémentaire de l’ASPC?

    Oui. Vous devez dresser des budgets distincts, un pour les IRSC (et le NHMRC, le cas échéant) et un pour l’ASPC. Le modèle de budget détaillé de l’ASPC a été inclus dans la documentation de l’avis de décision et est exigé pour le volet de la proposition qui concerne l’ASPC.

    Comme l’indique la sous-section de la section Comment faire une demande qui traite de la demande détaillée : « Les candidats doivent joindre un budget détaillé pour les activités qu’ils prévoient financer avec le supplément de l’ASPC. »

  • Quelles sont les différences entre les IRSC, l’ASPC et le NHMRC sur les plans du financement et des dépenses admissibles?

    Les fonds des IRSC ne peuvent pas servir à financer une intervention. Ceux de l’ASPC peuvent être employés pour améliorer l’intervention de base à l’étude ou pour ajouter des activités ou des endroits. Voici des exemples :

    • ajouter un programme et/ou une politique à une intervention qui autrement serait uniquement axée sur l’infrastructure;
    • accroître le nombre et la diversité des activités dans une intervention;
    • étendre l’intervention à d’autres communautés;
    • faciliter la participation multisectorielle et son approfondissement.

    Les fonds des IRSC et de l’ASPC peuvent tous deux servir au financement des coûts d’évaluation de l’intervention.

    Le financement accordé par le NHMRC pour une activité doit servir à couvrir les coûts directement liés à cette activité, de manière conforme aux principes et aux exigences décrites dans le document Direct Research Costs Guidelines (en anglais seulement) sur le site Web du NHMRC.

  • Une part substantielle du budget peut être versée aux partenaires non universitaires. Quelles en sont les conséquences au chapitre des virements et de la production de rapports en temps opportun?

    Le financement de l’ASPC sera fourni par l’entremise d’une subvention versée à l’établissement bénéficiaire. Le montant maximum total de chaque subvention de l’ASPC est de 3 millions de dollars, versés annuellement jusqu’à concurrence de 500 000 $. Les exigences relatives aux rapports seront précisées dans l’entente de financement et consisteront probablement à remettre des rapports d’activité et de mesure de rendement annuels. Aucun rapport financier ne sera exigé.

  • Le budget total demandé à l’ASPC doit-il être réparti en parts égales entre les années, ou les équipes peuvent-elles demander des montants différents d’une année à l’autre?

    On ne peut pas demander plus de 500 000 $ par année à l’ASPC. Des montants variables sont acceptables, mais ils ne peuvent pas dépasser cette limite. Le montant global maximum est de 3 millions de dollars sur les 6 années du soutien. L’ASPC paiera le montant annuel demandé en un (1) ou deux (2) versements.

  • Si du financement est reçu des IRSC et de l’ASPC, faudra-t-il présenter des rapports distincts à chaque organisme, ou les deux organismes utiliseront-ils ensemble un seul système pour la présentation des rapports d’étape et de dépenses?

    Il faudra remettre des rapports distincts à chaque organisme. Cependant, comme l’indique la section Conditions de financement, tous les rapports aux IRSC seront transmis à l’ASPC. Toute autre exigence de l’ASPC en matière de rapports sera confirmée à l’étape de l’entente de financement.

  • Devons-nous inclure les « coûts indirects » dans les 500 000 $ par année?

    Oui. Comme l’indique la section Coûts admissibles de l’ASPC, « [l]es coûts indirects seront couverts au prorata (c.‑à‑d. comptabilité, gestion des technologies de l’information) », jusqu’à concurrence de 18 % de la valeur totale de la subvention, si l’on en fait la demande et qu’on la justifie. Les coûts indirects sont inclus dans le financement supplémentaire annuel disponible, dont le maximum est de 500 000 $. Ils doivent être calculés en fonction des coûts réels ou du recouvrement des coûts; ils ne peuvent pas prendre la forme d’un pourcentage fixe du budget total.

  • Est-il possible d’utiliser les fonds supplémentaires de l’ASPC pour se concentrer sur une population additionnelle en particulier?

    Oui. Voici quelques exemples de la façon dont le financement de l’ASPC peut être utilisé : ajouter des éléments à une intervention, accroître le nombre et la diversité des activités, contribuer à étendre l’intervention à d’autres communautés ou faciliter la participation multisectorielle et son approfondissement. Il est également possible de se concentrer sur des populations supplémentaires en particulier.

  • Est-il acceptable de demander une somme inférieure au plein montant pour le financement de l’ASPC? Si tel est le cas, ces demandes seraient-elles perçues plus favorablement?

    Vous pouvez demander une somme inférieure au montant maximum fixé par l’ASPC. Cela n’aura aucune incidence sur la cotation de votre demande par les pairs évaluateurs.

  • Il a une grande variété de coûts admissibles selon l’ASPC. L’ASPC accorde-t-elle une plus grande importance à certaines priorités de programmes s’inscrivant dans les coûts admissibles?

    Non.

  • Quel est le coût estimé d’un tiers évaluateur pour les six (6) années?

    Il n’y a pas de montant exact, car le coût dépend du rôle de l’évaluateur et de l’ampleur de sa tâche. Votre justification budgétaire doit être très claire sur ce sujet. Le coût de l’évaluation devrait être de 10 à 20 % du budget total, et l’évaluateur compterait dans ce pourcentage.

Financement supplémentaire du NHMRC

  • Si des chercheurs australiens n’ont pas été inclus dans la demande à l’étape de la lettre d’intention, est-il possible de demander le financement supplémentaire au NHMRC maintenant?

    Remarque importante : Les renseignements fournis lors du webinaire sont inexacts.

    Non. Les lignes directrices du NHMRC applicables aux subventions stipulent que les chercheurs australiens désireux de se joindre à un consortium canadien doivent être identifiés à l’étape de la lettre d’intention. Elles précisent aussi que le chercheur en chef A (CCA) et son établissement australien administrateur associé doivent être identifiés comme partenaires de recherche australiens principaux dans la demande aux IRSC aux étapes de la lettre d’intention et de la demande détaillée.

  • Pouvez-vous donner plus de précisions sur le financement supplémentaire du NHMRC?

    Le NHRMC versera jusqu’à 5 000 000 $ AU au volet australien des projets admissibles les mieux classés dans les six domaines thématiques. La valeur maximale du financement est de 1 250 000 $ AU par subvention sur cinq ans, ce qui devrait permettre de financer jusqu’à quatre subventions. Les candidats australiens doivent présenter au NHMRC la demande détaillée envoyée aux IRSC. Il n’y a pas de proposition de recherche distincte pour le financement supplémentaire de cet organisme. Pour obtenir plus de renseignements sur le financement du NHMRC et le processus de demande, veuillez consulter les lignes directrices relatives aux subventions sur le site Web Grant Connect (en anglais seulement).

  • L’intégration des budgets est-elle perçue comme un avantage ou un désavantage?

    Veuillez consulter les lignes directrices du NHMRC applicables aux subventions pour vous renseigner sur les dépenses admissibles. Pour permettre au NHRMC d’examiner le budget des dépenses australiennes, seule l’information budgétaire concernant le volet australien du projet de recherche doit être transmise par le système Sapphire du NHRMC.

    Pour la demande envoyée aux IRSC, il faudra intégrer les fonds canadiens et australiens dans le budget. La page sur la possibilité de financement a été mise à jour pour clarifier la manière d’intégrer les budgets dans RechercheNet.

  • Est-il possible d’obtenir une version PDF du formulaire de demande du NHMRC pour connaître les exigences de nos collaborateurs australiens?

    Le chercheur australien (le CCA) a accès à la demande dans Sapphire et pourrait être en mesure de guider l’équipe. L’annexe B des lignes directrices du NHMRC applicables aux subventions donne d’autres conseils sur les sections à remplir du formulaire de demande dans le système Sapphire.

  • Les interventions et les stratégies de mise en œuvre des études canadiennes et australiennes doivent-elles être semblables ou identiques?

    Les interventions et les stratégies de mise en œuvre dans une municipalité australienne devraient être semblables à celles réalisées dans les municipalités canadiennes afin de pouvoir les comparer. Cependant, il appartient à l’équipe de justifier la mesure dans laquelle les travaux au Canada et en Australie sont comparables et rempliront les objectifs de la possibilité de financement.

  • La proposition de recherche de 18 pages (en français) présentée aux IRSC doit-elle inclure tous les renseignements sur les intentions de nos collègues australiens dans leur pays? Ou doit-on remettre au NHMRC une proposition distincte qui comprend tous les détails de l’étude australienne?

    La proposition de recherche présentée aux IRSC doit inclure l’information sur le volet australien étant donné qu’il n’y a pas de proposition distincte pour le NHMRC. Les chercheurs australiens doivent envoyer par l’entremise de Sapphire une demande qui inclut le budget australien et une copie de la proposition de recherche soumise aux IRSC et à l’ASPC.

    On s’attend à ce que le volet concernant le NHMRC soit intégré dans la proposition au lieu de faire l’objet d’une proposition distincte (c.-à-d. qu’il ne présente pas un axe de recherche totalement nouveau, mais plutôt qu’il s’agit d’un ajout à la proposition de recherche soumise aux IRSC).

  • Comment les partenaires sauront-ils s’ils ont réussi tous les deux? Le succès d’un partenaire dépend-il de celui de l’autre?

    Le NHMRC ne financera que les demandes retenues à la suite de l’évaluation par les pairs des IRSC; un processus distinct n’est pas réalisé par l’organisme australien. Une fois les demandes détaillées soumises, les IRSC les feront évaluer par des pairs et informeront le NHMRC des demandes subventionnables. Ensuite, le NHMRC examinera le budget et vérifiera l’admissibilité, puis communiquera les résultats aux candidats australiens.

  • Les partenaires internationaux potentiels seront-ils avisés qu’ils peuvent présenter au NHMRC une demande de financement en lien avec une proposition?

    Oui. Le NHMRC a déjà convié les candidats australiens associés aux équipes canadiennes invitées à soumettre leur demande détaillée aux IRSC à présenter leur proposition par l’entremise du système Sapphire.

  • En demandant le financement supplémentaire au NHMRC par l’entremise du système Sapphire, il faut détailler et justifier le budget. Devons-nous inclure cette information qui est destinée au financement par le NHMRC dans notre demande envoyée aux IRSC?

    Oui. Il faut inclure les détails sur le budget demandé au NHMRC et leur justification dans la demande présentée aux IRSC, car le budget sera évalué par les pairs. Les évaluateurs sauront ainsi si le projet est adéquatement financé. D’autres instructions ont été ajoutées à la possibilité de financement.

Veuillez envoyer toute question supplémentaire sur la possibilité de financement Subventions d’équipe en SMOVS au Centre de contact des IRSC.

Date de modification :