Chaires de recherche sur le genre, le sexe et la santé de l'ISFH
Le programme de chaires de recherche Nouvelles perspectives sur le genre, le sexe et la santé, financé par l'Institut de la santé des femmes et des hommes (ISFH), appuie l'excellence de la recherche dans le domaine du genre, du sexe et de la santé. Le programme a notamment pour but d'élargir et de renforcer la capacité de recherche en santé relative au genre (expériences socioculturelles) et au sexe (facteurs biologiques) au Canada, ainsi que d'appuyer l'application des connaissances sur la santé des femmes et des hommes, des filles et des garçons.Les chaires de recherche sur le genre, le sexe et la santé
Les titulaires des chaires suivantes sont des chercheuses du domaine de la santé qui ont acquis une réputation d'excellence en recherche en appuyant d'exceptionnels programmes de recherche qui améliorent la santé des Canadiens, en renforçant la capacité de recherche sur le genre, le sexe et la santé et en mettant au point des stratégies novatrices d'application des connaissances.
Dre Sonia Lupien
Titulaire d'une chaire pour chercheur chevronné - Stress, genre, sexe et santé mentale au cours de la vie : produire de nouvelles connaissances et les mettre en application dans des programmes d'éducation fructueux
Dre Marlene Moretti
Titulaire d'une chaire pour chercheur chevronné - Violence et victimisation : réduire le risque et promouvoir la santé et le bien-être des filles et des jeunes femmes
Dre Olena Hankivsky
Titulaire d'une chaire pour chercheur en milieu de carrière – Nouvelles perspectives sur le sexe et le genre, la diversité et la réforme de la santé au Canada
Dre Maureen Heaman
Titulaire d'une chaire pour chercheur en milieu de carrière – Disparités entre les femmes sur le plan de la santé prénatale, de l'accès aux soins prénataux et des résultats de grossesse
Dre Olga Kovalchuk
Titulaire d'une chaire pour chercheur en milieu de carrière – Mécanismes moléculaires des différences de sexe dans l'effet bystander radio-induit in vivo
Dre Lynn McIntyre
Titulaire d'une chaire pour chercheur en milieu de carrière – Expériences d'approvisionnement en nourriture des femmes de divers endroits dans le monde pour assurer la sécurité alimentaire
Dre Sonia Lupien
Stress, genre, sexe et santé mentale au cours de la vie : produire de nouvelles connaissances et les mettre en application dans des programmes d'éducation fructueux
Le programme de recherche de la Dre Lupien tient compte des différences qu'entraînent le sexe et le genre dans la maladie mentale. Comme les études liées à la maladie mentale ont majoritairement été menées auprès d‘hommes, son travail vise à combler une lacune importante de la recherche en se penchant sur les différences sociales et biologiques entre les deux sexes. Il y a dans le programme de recherche de la Dre Lupien un important engagement envers l'application des connaissances. À cette fin, son Centre d'études sur le stress humain a pour mandat d'améliorer la santé physique et mentale des Canadiens en habilitant les gens au moyen d'information à base scientifique sur les effets du stress sur le cerveau et le corps.
Au sujet de la Dre Lupien
La Dre Sonia Lupien est directrice scientifique du Centre de recherche Fernand-Seguin de l'Hôpital Louis H. Lafontaine et professeure agrégée au Département de psychiatrie de l'Université de Montréal. Elle est aussi fondatrice et directrice du Centre d'études sur le stress humain. Après avoir obtenu son doctorat en neurosciences à l'Université de Montréal, la Dre Lupien a suivi une formation en recherche postdoctorale à l'Université de la Californie, à San Diego, et à l'Université Rockefeller, à New York. Les intérêts de recherche de la Dre Lupien portent principalement sur les effets du stress au cours d'une vie.
Tôt dans sa carrière, la Dre Lupien a démontré un lien entre des taux élevés d'hormones du stress chez les adultes âgés, la perte de mémoire et une réduction du volume de l'hippocampe, une structure du cerveau qui joue un rôle dans l'apprentissage et la mémoire. Deux ans plus tard, elle a démontré que les enfants de faible statut socioéconomique présentent des taux plus élevés d'hormones du stress que les enfants de statut socioéconomique élevé. Il est aussi important de souligner que les recherches de la Dre Lupien ont démontré que le stress peut avoir des répercussions négatives sur les humains de tous âges, qu'ils soient jeunes ou vieux. Parmi ses projets futurs, on compte un programme de recherche sur la détection du stress en milieu de travail et l'intervention à cet égard, de même que l'expansion du programme Dé-stresse et progresse, qui a pour but de renseigner les enfants et les adolescents au sujet du stress et de ses répercussions sur l'apprentissage et la mémoire.
Coordonnées
Dre Sonia Lupien
Université de Montréal
Centre de recherche Fernand-Seguin en santé mentale
Hôpital Louis-H. Lafontaine
7331, rue Hochelaga
Montréal (QC) H1N 3V2
Tél. : 514-251-4015
Courriel : sonia.lupien@umontreal.ca
Centre d'études sur le stress humain
Dre Marlene Moretti
Violence et victimisation : réduire le risque et promouvoir la santé et le bien-être des filles et des jeunes femmes
Jusqu'à tout récemment, la recherche sur l'agression et la violence mettait surtout l'accent sur les garçons. Bien que les garçons aient tendance à commettre des actes de violence plus sérieux, les taux de crimes violents ont augmenté chez les jeunes femmes, et ces tendances correspondent aux déclarations que font les filles au sujet de leur comportement. Beaucoup de filles touchées par l'agression ou la violence vivent une victimisation grave et chronique et sont aux prises avec une myriade de problèmes sociaux et de santé mentale. Ces conclusions font ressortir la nécessité d'accélérer la recherche sur l'agression, la victimisation et la violence dans la vie des filles, afin d'exercer une influence sur la politique sociale et de mettre au point des programmes de promotion de la santé et du bien-être.
Le programme de recherche de la Dre Moretti traite de quatre principaux aspects liés à la santé et au bien-être des adolescentes et des jeunes femmes :
- L'étiologie, la trajectoire de développement et les conséquences sur la santé de l'exposition à la victimisation et de l'implication dans la violence.
- Les facteurs et besoins uniques liés à la marginalisation culturelle et sociale qui exposent les jeunes femmes au risque de mauvais résultats pour la santé.
- La mise au point d'une intervention efficace et la promotion de la capacité communautaire de réduire le risque et de promouvoir la santé et le bien-être.
- La mise sur pied d'une équipe internationale de collaboration pour étudier le risque, la résilience, la prévention et l'intervention relativement au genre, au sexe, à la victimisation et à la violence.
L'application des connaissances est au cœur de toutes les facettes de la recherche, de même que la formation et le mentorat destinés à renforcer la capacité de recherche et la prestation de services de santé axés sur des données probantes.
Au sujet de la Dre Moretti
La Dre Moretti est professeure au Département de psychologie de l'Université Simon Fraser et dirige l'Adolescent Health Laboratory (en anglais seulement) de cette université. Au long de sa carrière, elle a mis l'accent sur les facteurs développementaux liés au bien-être et à la santé psychologiques, particulièrement pour ce qui est de leur lien avec la transition à l'adolescence. Elle étudie, dans le cadre de son travail, des questions comme : comment les adolescentes et les adolescents développent-ils un sain sentiment de valeur personnelle, une capacité d'autoréflexion et d'autodétermination, et la confiance et les habiletés nécessaires pour entretenir de solides relations intimes? Pourquoi certains présentent-ils un risque de psychopathologie et de mauvaise adaptation sociale? Comment les relations sociales et le développement social, cognitif et affectif atténuent-ils les répercussions de l'adversité? Comment peut-on améliorer le soutien aux jeunes femmes et aux jeunes hommes à risque pour favoriser les meilleurs résultats possible? La Dre Moretti a mis ces questions au premier plan pour déterminer les études à mener avec ses étudiants, ses collègues et ses partenaires communautaires. Dans son travail, elle accorde aussi une grande priorité à l'application des connaissances dans la recherche sur la santé mentale des enfants et des jeunes et elle accueille favorablement les partenariats actifs avec les intervenants de la communauté et du gouvernement pour mieux servir les jeunes et leur famille.
Coordonnées
Université Simon Fraser
Département de psychologie
8888, University Drive
Burnaby (C. B.) V5A 1S6
Tél. : 778-782-3604
Courriel : moretti@sfu.ca
Site Web de la Dre Moretti (en anglais seulement)
Dre Olena Hankivsky
Nouvelles perspectives sur le sexe et le genre, la diversité et la réforme de la santé au Canada
La réforme de la santé est un phénomène mondial visant à améliorer l'efficience et l'efficacité du secteur de la santé compte tenu des ressources gouvernementales limitées, des changements démographiques et des innovations technologiques. Très récemment au Canada, le gouvernement de la Colombie Britannique a conclu un exercice consultatif, appelé The Conversation on Health, devant conduire à des transformations historiques du système de soins de santé dans la province. Même si les réformes du système de soins de santé ont une incidence différente sur les populations vulnérables et marginalisées, y compris celles qui ont besoin de soins, les personnes qui travaillent au sein du système de soins structuré et celles qui fournissent des soins non structurés ou non rémunérés, la plupart des interventions pour réformer les soins de santé sont conçues et mises en œuvre sans porter beaucoup d'attention au genre et à la diversité.
Le programme de recherche de la Dre Hankivsky vise à appliquer une analyse du genre et de la diversité où est utilisée une approche de méthodes mixtes qui accorde une priorité élevée à l'action et à l'application des connaissances aux réformes des politiques de la santé découlant de la récente initiative de réforme de la santé au Canada, soit la Conversation on Health en Colombie Britannique. Son programme évaluera aussi les approches et les outils actuels d'analyse comparative selon le genre pour évaluer les effets de la réforme de la santé sur les femmes dans toute leur diversité. Comme la recherche sera guidée par une analyse du genre et de la diversité, le projet offre aussi la possibilité d'appliquer, d'évaluer et d'affiner davantage les approches actuelles de l'analyse comparative selon le genre au Canada pour saisir méthodiquement non seulement le genre, mais aussi les facteurs qui le recoupent, dont l'âge, la classe sociale, la géographie, la langue, la race ou l'ethnicité, les capacités et la sexualité. Les résultats de ce programme de recherche contribueront à l'égalité entre les sexes et à des résultats de santé équitables dans la recherche, les politiques, les programmes et la législation.
Au sujet de la Dre Hankivsky
La Dre Hankivsky est professeure agrégée au Programme de politique publique, codirectrice de l'Institute for Critical Studies in Gender and Health (en anglais seulement) à l'Université Simon Fraser, et chercheuse principale en santé des populations à la Fondation Michael Smith pour la recherche en santé (en anglais seulement) (MSFHR). Elle est aussi codirectrice du BC's Women's Health Research Network (en anglais seulement) (financé par la MSFHR).
La Dre Olena Hankivsky se spécialise dans la politique publique et la théorie politique, s'intéressant en particulier à la politique de la santé et de genre. Elle est l'auteure de Social Policy and the Ethic of Care (2004, presses de l'Université de la Colombie Britannique), rédactrice de Health and Intersectionality Inquiry in Canada (à paraître, presses de l'Université de Toronto), et corédactrice de Women's Health in Canada: Critical Perspectives on Theory and Policy (2007, presses de l'Université de Toronto). La recherche de la Dre Hankivsky a été publiée dans des revues comme Social Science and Medicine, Critical Public Health, International Journal of Equity in Health, Journal of Health and Social Policy, Critical Social Policy, International Journal of Health Services, et Analyse de politiques. Elle a occupé divers postes en enseignement à l'Université Western Ontario et à l'Université de la Colombie Britannique, et a reçu une bourse de recherche postdoctorale du Conseil de recherches en sciences humaines, au Département de sciences politiques de l'Université de la Colombie Britannique.
Coordonnées
Dre Olena Hankivsky
Université Simon Fraser
Programme de politique publique
515, rue West Hastings, pièce 3262
Vancouver (C. B.) V6B 5K3
Tél. : 778-782-5182
Courriel : oah@sfu.ca
Site Web de la Dre Hankivsky (en anglais seulement)
Dre Maureen Heaman
Disparités entre les femmes sur le plan de la santé prénatale, de l'accès aux soins prénataux et des résultats de grossesse
Le programme de la Dre Heaman sera axé sur la santé des femmes dans le contexte de la grossesse et de l'accouchement. Les femmes enceintes ne forment pas un groupe homogène, et il peut exister des différences majeures d'une femme à l'autre. Ce programme de recherche s'appuiera sur une analyse de l'influence du genre et du sexe pour conceptualiser et mesurer l'utilisation des soins de santé et la qualité des soins dans la perspective de femmes enceintes de différentes conditions sociales et économiques et de différentes régions géographiques.
Les objectifs particuliers du programme sont :
- examiner les inégalités et les disparités entre les femmes sur les plans de la santé prénatale et de l'accès aux soins prénataux
- explorer les liens entre ces disparités et d'autres déterminants de la santé comme le revenu, l'origine ethnique, la condition d'immigrant et la géographie
- étudier la corrélation entre les disparités sur le plan de la santé prénatale et l'utilisation des soins prénataux et les résultats défavorables des grossesses
Par son programme, la Dre Heaman étudiera les expériences de femmes pauvres, autochtones et immigrantes. Un projet sera consacré à l'examen des facteurs associés à l'utilisation inadéquate des soins prénataux chez les femmes des quartiers urbains défavorisés, et les résultats serviront à concevoir et à mettre à l'essai de nouveaux modèles de prestation des soins prénataux pour ces femmes. Dans un autre projet, on explorera les perspectives des femmes et des fournisseurs de soins de santé sur la qualité des soins prénataux et, encore une fois, les résultats serviront à concevoir un instrument de mesure de la qualité des soins prénataux. L'application des connaissances occupe une grande place dans ce programme de recherche : les utilisateurs de la recherche seront intégrés à toutes les étapes pour que les résultats servent à orienter l'élaboration des politiques et des programmes. La formation des futurs chercheurs en santé des femmes sera une grande priorité.
Au sujet de la Dre Heaman
La Dre Maureen Heaman est professeure à la Faculté des sciences infirmières de l'Université du Manitoba, avec nomination conjointe au Département d'obstétrique, de gynécologie et des sciences de la reproduction et au Département des sciences de la santé communautaire, à la Faculté de médecine. Elle occupe des postes de scientifique au Centre d'élaboration de la politique des soins de santé du Manitoba (en anglais seulement) et au Manitoba Institute of Child Health (en anglais seulement). Ses recherches portent sur la santé maternelle, sur l'épidémiologie périnatale, ainsi que sur l'utilisation et la qualité des soins prénataux.
La Dre Heaman siège à plusieurs comités, dont le comité de rédaction de MCN The American Journal of Maternal Child Nursing, l'Enquête sur l'expérience de la maternité du Système canadien de surveillance périnatale de l'Agence de la santé publique du Canada, ainsi que le conseil consultatif de l'Institut du développement et de la santé des enfants et des adolescents des IRSC. En 2007, l'Université du Manitoba lui a décerné le prix Rh pour sa contribution exceptionnelle à l'enseignement et à la recherche dans la catégorie interdisciplinaire. En 2008, elle a reçu un Prix du centenaire de l'Association des infirmières et infirmiers du Canada.
Renseignements
Dre Maureen Heaman
Université du Manitoba
Faculté des sciences infirmières
Helen Glass Centre for Nursing, pièce 268
Winnipeg (MB) R3T 2N2
Tél. : 204-474-6222
Courriel : Maureen_Heaman@umanitoba.ca
Site Web de la Dre Maureen Heaman (en anglais seulement)
Dre Olga Kovalchuk
Mécanismes moléculaires des différences de sexe dans l'effet bystander radio-induit in vivo
Le tiers de la population risque de développer une forme quelconque de carcinome. De ce nombre, plus de la moitié suivront probablement une radiothérapie. Si ce traitement moderne contre le cancer entraîne une augmentation du taux de survie chez les patients, il comporte aussi un risque de complications secondaires et d'effets indésirables, un problème clinique de plus en plus important. L'effet « bystander », ou effet de proximité, est un exemple de complication secondaire survenant à la suite d'une radiothérapie, quelle qu'en soit la forme. (L'effet bystander est observé lorsque les cellules avoisinantes non irradiées deviennent instables et que la carcinogenèse s'ensuit dans les cellules saines.) Des études plus poussées sont toutefois requises pour prouver l'existence de l'effet de proximité et cerner les mécanismes moléculaires précis qui sont en cause dans l'effet bystander in vivo, c'est-à-dire l'effet de la radiation sur les cellules non cancéreuses chez les patients qui reçoivent un traitement. On a observé des taux différents de tumeurs, y compris les malignités secondaires radio-induites, chez les hommes et les femmes. Pour étudier ces différences dans l'effet de la radiation, la Dre Kovalchuk utilisera des modèles animaux, un outil très utile à cet égard, avant de tirer des conclusions de grande portée. Ses études sur des modèles animaux mèneront à l'élaboration de stratégies de prévention ou de réduction des effets défavorables de la radiothérapie sur les humains, augmentant ainsi les taux de survie.
Au sujet de la Dre Kovalchuk
Professeure agrégée au Département de sciences biologiques de l'Université de Lethbridge, la Dre Olga Kovalchuk s'intéresse depuis longtemps à la recherche sur le cancer. La Dre Kovalchuk fréquentait une école secondaire en Ukraine lorsque l'usine de Tchernobyl, située à 600 kilomètres de chez elle, a été le théâtre du plus grave accident nucléaire de l'histoire, en avril 1986. La dévastation causée par cette tragédie a inspiré à la chercheuse un vif intérêt pour les études qu'elles mènent aujourd'hui. Sa recherche vise à augmenter les taux de survie tout en évitant les tumeurs secondaires qui pourraient être attribuables à la radiothérapie. Selon les résultats préliminaires, les modifications touchant l'encapsidation des chromosomes pourraient contribuer à augmenter le risque de certains cancers chez des personnes exposées à des radiations en milieu de travail ou dans le cadre d'une cancérothérapie. La Dre Kovalchuk compte profiter de cette étude pour tenter de mieux comprendre pourquoi les radiations provoquent des tumeurs secondaires chez des patients atteints de cancer et ce qui peut être fait pour prévenir le cancer chez les enfants dont les parents sont exposés à des radiations. La Dre Kovalchuk cherche aussi à savoir si certains agents dérivés des plantes pourraient être administrés aux patients avant une radiothérapie afin d'augmenter leurs chances de survie et de réduire les effets indésirables des radiations.
Coordonnées
Dre Olga Kovalchuk
Université de Lethbridge
Département de sciences biologiques
4401, promenade University
Lethbridge (Alberta) T1K 3M4
Tél. : 403-394-3916
Courriel : olga.kovalchuk@uleth.ca
Site Web de la Dre Kovalchuk (en anglais seulement)
Dre Lynn McIntyre
Expériences d'approvisionnement en nourriture des femmes de divers endroits dans le monde pour assurer la sécurité alimentaire
Éliminer la pauvreté et la faim extrêmes d'ici 2015, tels sont les objectifs du Millénaire pour le développement que s'est fixés l'ONU (en anglais seulement). L'élimination de la faim permettrait d'assurer la sécurité alimentaire et d'améliorer la vie des femmes et de leurs enfants plus que toute autre réalisation mondiale ou mesure d'aide au développement humain. Par son programme de recherche, la Dre McIntyre tente d'écouter les femmes de nombreux endroits dans le monde, qui luttent pour satisfaire leurs besoins alimentaires et ceux de leur famille, et tente, par le fait même, d'offrir de nouvelles stratégies, ainsi qu'une perspective et un but communs, qui pourraient être omis sans une analyse comparative entre les sexes de l'expérience des femmes sur le plan de l'approvisionnement en nourriture.
Au sujet de la Dre McIntyre
La Dre Lynn McIntyre est actuellement professeure au Département des sciences de la santé communautaire, à la Faculté de médecine de l'Université de Calgary. Avant de se joindre à l'Université de Calgary en 2006, la Dre McIntyre s'est acquittée de trois mandats de doyenne de la Faculté des professions de la santé, à l'Université Dalhousie, à Halifax, en Nouvelle-Écosse. Les recherches quantitatives et qualitatives de la Dre McIntyre sont axées sur la faim et l'insécurité alimentaire, tant au Canada que dans les pays à revenu relativement faible et intermédiaire, et accordent une attention particulière aux femmes et à la pauvreté.
Coordonnées
Dre Lynn McIntyre
Professeure et titulaire d'une chaire des IRSC sur le genre et la santé
Département des sciences de la santé communautaire
Faculté de médecine, Université de Calgary
Immeuble Teaching Research & Wellness
3e étage, 3E43
3280, promenade Hospital NO
Calgary (Alberta) Canada T2N 4Z6
Tél. : 403-220-8664
Courriel : lmcintyr@ucalgary.ca
Site Web de la Dre Lynn McIntyre (en anglais seulement)
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